Résumé : Cet article met en relation l’usage des termes de costumi et consuetudine dans la réflexion machiavélienne avec les notions de mores et de consuetudo développées dans la tradition juridique médiévale par les civilistes et les canonistes. Sur ces bases, il indique la nouveauté de l’approche du Segretario dans la découverte de la force en tant que moteur et principe de l’action politique.