Résumé : Pour peindre la décadence des valeurs bourgeoises, La Curée et Le Journal d’une femme de chambre présentent deux chambrières à l’onomastique quasiment identique : Céleste et Célestine. Une scène similaire, celle des adieux à Madame, permet de souligner leurs points communs comme leurs motifs de variation. L’étude de ces personnages fait ainsi mieux comprendre la perception de la société qu’avaient les deux écrivains et l’intertextualité, intentionnelle ou non, qui peut résider entre les textes.