Résumé : La plongée de Léon Bocquet dans le régionalisme s’accompagne d’un intérêt évident pour sa région d’origine, le Nord. À l’intérieur du microcosme campagnard du roman de 1924, apparaissent des animaux. Animaux décrits avec rigueur et précision, ou présentés comme des parangons des comportements humains, animaux-fétiches, animaux servant de panacée en médecine, toutes sortes d’animaux envahissent Le Fardeau des jours. Cette contribution examine, avec cet ouvrage, le bouillonnement intellectuel des années 1920.