Résumé : Dans les années 1770, Séguier et le naturaliste Pierre-Joseph Amoreux de Montpellier entretinrent une correspondance active qui fut profitable aux deux parties. Amoreux, qui ambitionnait de se faire une réputation grâce aux concours annuels des académies, avait accès à la bibliothèque et aux connaissances bibliographiques du Nîmois ; Séguier utilisait le jeune républicain pour chercher des livres chez les libraires, faire des recherches, et faire passer lettres et paquets à ses amis de Montpellier et des environs.