Résumé : Après la révolution syrienne, est apparue une écriture nouvelle, de plus en plus différente de l’écriture d’avant la révolution. La complexité de la situation syrienne a libéré la parole et l’expression, a brisé des chaines visibles et invisibles qui bridaient la génération précédente : celles du pouvoir de la censure, celles de l’idéologie et de la religion, celles de l’étroitesse de l’horizon local, celles de l’« écriture correcte » et enfin celles de la distinction entre formes d’écritures.