Résumé : Un an après le déclenchement de la révolution syrienne, le discours selon lequel les villes de Damas et d’Alep ont participé de façon peu significative au soulèvement, continuait de régner dans les médias. Comprendre la « tiédeur » des deux principales villes syriennes à l’égard de la révolution, implique de connaître la nature des procédés répressifs à l’œuvre et leur puissance jusqu’à présent, ainsi que leur impact direct et indirect sur la révolution elle-même.