Résumé : L’œuvre stendhalienne se caractérise par la coprésence de différents ordres du savoir. L’épistemè de la ressemblance, celui de la représentation et l’épistemè moderne – tels que les décrits Foucault dans Les Mots et les Choses –, témoignent d’une réflexion de l’auteur sur les systèmes de signes et le classement du savoir. La communication met en relief les diverses formations du savoir ainsi que les parallèles entre les textes stendhaliens et les Affinités électives de Johann Wolfgang von Goethe.