Résumé : Cet article met en relation l’œuvre de Luis Buñuel avec celle de William Hogarth thématiquement et théoriquement, en établissant des parallèles quant à la théorie de ligne serpentine de Hogarth, et en portant un intérêt particulier à la rupture de la linéarité du récit et de la perspective dans les derniers films du réalisateur, plus particulièrement Le Fantôme de la liberté (1974).