Résumé : S’il existe un « rembrandtisme » dans les années 1910-20 en photographie et cinématographie, on met au jour, du tournant du xxe siècle aux années 1920-30, en lien avec le pictorialisme, un « hogarthisme » outre-Atlantique centré sur la « ligne de beauté ». Concernant en particulier la représentation du paysage, il circule des arts graphiques à la pédagogie de l’art, en passant par la photographie et le cinéma, gagnant le lexique professionnel des opérateurs et directeurs de la photographie.