Résumé : Depuis plusieurs années, les images en mouvement sont devenues les « lieux » privilégiés de la représentation et de l’incarnation des questionnements liés aux régimes de perception visuelle du corps en transition. La fluidité des flux écraniques traduit la fluidité des identités queer à travers la transformation des corps. Ces recherches sont notamment présentes dans les œuvres de Cabello/Carceller, Pauline Boudry et Renate Lorenz, ainsi que Tayeba Begum Lipi.