Résumé : Si l’hyperarticité est une relation de dérivation entre des œuvres appartenant à des arts différents, la relation du tableau vivant au tableau est ainsi construite qu’elle sera encore longtemps pensée comme un facteur d’intensification du coefficient d’art, d’où le genre tire sa dimension esthétisante. Là réside la source de la difficulté qu’auront à résoudre les pratiques modernes et contemporaines, photographiques ou cinématographiques, dès lors que celles-ci assument leur propre statut médial.