Résumé : Les machines ont un intérieur : là où se trouve leur mécanisme, leur secret. Si les études cinématographiques se donnent pour tâche l’analyse des machines de production, cet intérieur les concerne-t-il, ou doivent-elles s’en tenir à leur surface, à l’interface entre l’appareil et son utilisatrice ? Pour Gilbert Simondon, les machines doivent être ouvertes, en tous les sens possibles, et là se situe le cœur de sa politique.