Résumé : Alors que le cinéma mondial faisait ses révolutions esthétiques et idéologiques, les cinémas nationaux d’Afrique se sont développés aux lendemains des indépendances. De peu de poids économique, toujours en proie aux représentations extra-continentales, les cinémas africains continuent de questionner les frontières nationales et cinématographiques pour filmer les interstices, les passages, les révolutions intimes ou sociétales, les lignes de partage concrètes ou métaphoriques, que l’on franchit ou qui séparent…