Résumé : Dans les années 1960, cinéma et art concourent à un troublant phénomène d’identification forts de l’apparition de l’ambiente, un genre d’œuvre d’art né en Italie, qui élargit l’objet à l’espace de sa monstration dans des proportions hyperesthésiques. À partir de l’anxiogène Femina ridens de Piero Schivazappa (1969), il s’agit de penser le studio comme processus d’ambientisation à travers l’exhibition de ses qualités propres (éclairage exaspéré, claustration).