Résumé : Cet article tente une poétique du générique d’ouverture, comme seuil polymédiatique d’un objet sériel. Après une nécessaire typologie, le générique est étudié dans sa tension définitoire, caillot récurrent, au service d’une continuité elle-même tramée de ruptures. Au service d’une « méta-sérialité » qui lui donne sa signification, le générique obéit à une structure ternaire, qui peut être l’objet d’une étude poéticienne.