Résumé : Le chiffre deux semble bien être la clef de voûte de la branche Ic puisque Renart y joue deux rôles (teinturier et jongleur), dupe Isengrin et le couple des nouveaux mariés, profitant d’un double déguisement, d’une double langue, d’une double identité pour exercer une double vengeance et provoquer une double dispute. Il est à la fois artiste et héros qui agit et fait agir les autres. Par une mise en abyme de la fiction, le goupil devient le conteur de ses propres aventures, dédoublant ainsi l’instance narratrice.