Résumé : Cette contribution, à partir de l’œuvre de Georg Jellinek, précise d’abord la notion de droit subjectif et insiste sur le fait qu’un droit est un pouvoir sur autrui et que son concept s’entend dans la catégorie de la relation, pas de la monade isolée. Il précise ensuite la notion de droit public subjectif, un droit opposable à la puissance publique. À partir de là, on montre comment Jellinek construit une théorie de la citoyenneté sous deux espèces, la citoyenneté positive et la citoyenneté active.