Résumé : Loin d’être homogènes, les réappropriations du procès de Jésus par les écrivains belges francophones illustrent leurs préoccupations religieuses, philosophiques, et éthiques. Exception faite du simple récit d’édification, les versions littéraires du procès de Pâque ne relatent pas tant la condamnation du Christ que celle des ennemis, au sens large, de l’auteur.