Résumé : Le droit chinois doit sa physionomie actuelle à l’influence croisée de deux mouvements : l’un hérité de Confucius et de l’école des légistes, l’autre résultant de la « modernisation » à l’œuvre depuis le début du xxe siècle. Le droit qui s’en dégage est marqué par une rareté des lois, en comparaison avec la situation française, et par une grande plasticité. Dans ce contexte, la mondialisation a offert à la Chine des bénéfices remarquables.