Résumé : Quel est le point de vue le plus pertinent à adopter quand on parle de « handicap » ? Peut-on se satisfaire d’un point de vue extérieur, intérieur, ou qui combine les deux ? De l’analyse de ces trois points de vue ressort que nous manquons la plénitude que peut déployer une personne en situation de handicap dans son existence. Cette plénitude ne serait-elle pas à reconquérir à partir du matériau initial que cette personne peut nous livrer, indépendamment du « handicap » et de son point de vue ?