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Classiques Garnier

Présentation des auteurs

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Présentation des auteurs

Pierre-Yves Beaurepaire est professeur d’histoire moderne à l’université de Nice – Sophia Antipolis et membre de l’Institut universitaire de France. Il est notamment l’auteur de L’Europe des francs-maçons xviiie-xxie siècle (Paris, 2002), La France des Lumières 1715-1789 dans la collection Histoire de France (Paris, 2011) et prépare un dictionnaire de la franc-maçonnerie à paraître chez Armand Colin.

Catherine Brégianni a étudié l’histoire à l’université de Corfou et à l’université de Paris I Panthéon – Sorbonne où elle a soutenu son doctorat en 2000. Depuis 2003, elle est chercheuse titulaire au Centre de la recherche sur l’histoire moderne grecque de l’Académie d’Athènes et, de 2001 à 2011, elle a enseigné l’histoire économique et sociale de l’Europe à l’université ouverte grecque.

François Cadilhon est professeur d’histoire moderne à l’université Michel de Montaigne – Bordeaux 3. Il est membre de la Commission scientifique internationale d’histoire de la poste. Ses recherches portent sur l’histoire culturelle de la France et de la Hongrie au xviiie siècle, sur Montesquieu et l’Europe du xviiie siècle et l’histoire de l’éducation en France aux xvie-xixe siècle.

Saïd Chaaya est doctorant à l’École pratique des hautes études (Ve section sciences religieuses) où il prépare une thèse sur « Dialogues interreligieux, débats intellectuels et franc-maçonnerie dans la province ottomane de Syrie du milieu du xixe siècle aux années 1920 ». Ses recherches portent sur l’influence culturelle de la franc-maçonnerie au Proche Orient.

Robert Collis est Leverhulme Research Fellow au Département d’études russes et slaves à l’université de Sheffield.

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Felipe Santiago Del Solar est diplômé en sciences politiques. Il est actuellement doctorant en histoire à l’université catholique du Chili et à l’université Paris Diderot – Paris 7. Membre du Centre d’études historiques de la franc-maçonnerie espagnole (CEHME), il est collaborateur permanent de la Revue d’études historiques de la franc-maçonnerie latino-américaine et caribéenne (REHMLAC).

Michel Figeac est professeur d’histoire moderne à l’université Michel de Montaigne – Bordeaux 3 et Directeur du Centre d’histoire des mondes moderne et contemporain. Il est spécialiste de l’histoire de la noblesse à l’époque moderne, d’histoire de la culture matérielle et il a dirigé de nombreux colloques sur l’histoire de l’Europe centrale.

Katsumi Fukasawa est professeur d’histoire moderne à l’université de Tokyo au Département d’histoire occidentale. Spécialiste de la Méditerranée moderne, il est notamment l’auteur en français de Toilerie et commerce du Levant au xviiie siècle, d’Alep à Marseille, Paris, 1987, issu de sa thèse de troisième cycle.

Georges Koutzakiotis a fait des études d’histoire à l’université ionienne, à l’Écoles des hautes études en sciences sociales et à l’université Paris I Panthéon – Sorbonne, où il a obtenu le grade de docteur en 2005. Il est chercheur à l’Institut de recherches néohelléniques de la Fondation nationale de recherche scientifique (Grèce).

Kenneth Loiselle est professeur d’histoire à Trinity University (San Antonio, Texas). Il a publié des articles scientifiques sur divers aspects de l’histoire culturelle de la France au siècle des Lumières et termine actuellement un livre sur l’amitié dans la franc-maçonnerie sous l’Ancien Régime et la Révolution.

Luis P. Martin est professeur en civilisation et histoire contemporaine espagnole à l’université de Pau et des Pays de l’Adour. Il est l’auteur de nombreux travaux sur l’histoire de la franc-maçonnerie et de la culture politique. Il a notamment publié Los Arquitectos de la República. Los masones y la política en España, 1900-1936 (Madrid, 2007).

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Jean-Marie Mercier, historien de formation, est responsable du pôle culturel et patrimonial de la Communauté de communes de Beaucaire Terre d’Argence. Il achève une thèse de doctorat sur « Livres et écrits maçonniques de langue française au xviiie siècle ». Il a fait paraître une étude remarquée sur Les francs-maçons du pape. L’art royal à Avignon au xviiie siècle (Paris, 2010).

Thierry Millet est docteur en histoire contemporaine de l’université de Provence, chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman (IREMAM), UMR 6568. Il est spécialiste des interactions politiques et sociales.

Andreas Önnerfors a soutenu sa thèse de doctorat en histoire des sciences et des idées à l’université de Lund (Suède) en 2003. Il s’est spécialisé sur les échanges intellectuels et les réseaux au xviiie siècle avec une attention particulière aux échanges germano-suédois. Il a travaillé sur la franc-maçonnerie suédoise et sur d’autres sociétés fraternelles, appartenant au champ de la sociabilité féminine.

Céline Sala enseigne à l’IUFM rattaché à l’université de Montpellier 2. Docteur en histoire de l’université de Nice – Sophia Antipolis, elle consacre ses recherches à la sociabilité maçonnique aux xviiie et xixe siècles. Sa thèse a été publiée sous le titre Les francs-maçons en terres catalanes entre Lumières et Restauration. L’Art royal de Perpignan à Barcelone (1740-1830) (Paris, 2009).

Thierry Zarcone est directeur de recherches au CNRS, « Groupe sociétés, religions, laïcité », École pratique des hautes études. Il a fait paraître deux ouvrages et de nombreux articles sur l’histoire de la franc-maçonnerie en terre d’islam : Mystiques, philosophes et francs-maçons en islam (Paris, 1993) et Secret et sociétés secrètes en islam. Turquie, Iran et Asie Centrale, xixe-xxe siècles (Paris, 2002).