Résumé : L’auteur explore la possibilité d’une approche traductive se fondant sur un réseau sémantique mettant en valeur la perception d’un sujet étouffé par la façon dont son peuple, le peuple amérindien, a été privé de parole. C’est grâce à la détection de ces maillages que la langue persane arrive, dans toute sa différence, à retranscrire les mêmes effets créés par le lexique, le rythme et les sonorités, mettant ainsi à mal la traduction officielle.