Résumé : Les difficultés du transfert des gros mots roumains relèvent de plusieurs domaines, dont le domaine culturel semble être le plus important. Là où les Roumains se servent d’un juron ou d’un blasphème, les Français utilisent une insulte humiliante. Le dilemme des traducteurs est soit d’être fidèles à la lettre et de se servir de méthodes « sourcières », soit d’utiliser des méthodes « ciblistes », pour être fidèle à l’intention de l’auteur du texte source.