Résumé : Cet article qui s’appuie sur Le contrat naturel de Michel Serres offre une réflexion sur la sémantique du temps et ses traductions appliquées à l’écologie comme science de l’habitat. Cette recherche interdisciplinaire tend à montrer comment l’application d’un modèle écologique appliqué à la traduction – écosphère traductive – peut conduire à une homogénéité du modèle traductif. Cet équilibre suit une structure interactive systémique. Il permet de voir comment les études en écotraductologie appliquée (dynamique et fonctionnelle) sont viables, à l’échelle des mots mais aussi des ères culturelles.