Résumé : L’article montre la contribution de la sémiotique à la traduction littéraire en se focalisant sur l’analyse des signes dans l’œuvre intitulée La Route des Flandres de Claude Simon. L’analyse est réalisée du point de vue de la théorie des instances énonçantes de Jean-Claude Coquet : elle étudie, dans la première partie, la segmentation du texte et la fonction des épigraphes, et dans la seconde, le statut subjectal de l’instance énonçante ainsi que le statut de l’objet.