Divinité profanée ou laïcité sacralisée ?Pour une lecture critique de la traduction d’Alexandra David-Néel d’un poème attribué au sixième dalaï-lama Tsangyang Gyatso
Résumé : La traduction française par Alexandra David-Néel d’un poème attribué au sixième dalaï-lama semble éclairer sa dimension « profane ». Afin de dépasser cette vision dualiste et dans une visée traductive, l’auteur propose une lecture syntaxique et lexicologique du texte source dans sa dimension socio-anthropologique.