Abstract: L’article présente le regard des premiers boursiers roumains à l’étranger sur les évènements de 1821. Ceux-ci n’y voient un fait révolutionnaire : leurs écrits, livres, correspondance ou discours, s’intéressent aux emprunts culturels occidentaux susceptibles d’assurer l’intégration des Principautés dans le concert des nations européennes. Presque toute leur activité ayant suivi le retour au pays, eut comme but le développement de l’enseignement public roumain selon le modèle occidental.