Résumé : La littérature d’éducation trouve dans la forme épistolaire un moyen efficace de dispenser un programme pédagogique complet tout en évitant le didactisme de traités jugés le plus souvent fastidieux. Cet article s’intéresse aux métamorphoses de la lettre d’éducation à partir de l’étude des secrétaires et de trois textes de femmes éducatrices des Lumières (L. d’Épinay, M.-É. de La Fite, F. de Genlis).