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Classiques Garnier

Table et indice de tous les dizains par l'ordre et mesme nombre d'unchascun

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Délie, objet de plus haulte vertu
  • Pages : 309 à 323
  • Réimpression de l’édition de : 2001
  • Collection : Société des Textes Français Modernes, n° 5
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • EAN : 9782406104339
  • ISBN : 978-2-406-10433-9
  • ISSN : 2777-7715
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10433-9.p.0433
  • Éditeur : Société des Textes Français Modernes
  • Mise en ligne : 13/08/2020
  • Diffusion-distribution : Classiques Garnier
  • Langue : Français
433
TABLE ET INDICE
DE TOUS I ES DIZAINS
PAR L ORDRE â' MESME NOMBRE D'UNCHASCUN


A

A contempler si men•eilleus spectacle g]
A Cupido je fis tttaiuctz traictz briser 40
Affection en un si hault désir ;;S
Ainsi absent la ntemoire posée 4 i4 Ainsi qu'Amour en la face au plus beau q;~
Ainsi quc l'air de nues se devest ;;g
A l'embrunir des heures ténébreuses t 26
Amour ardent, &Cupido bandé zty
Amour des siens trop durement piteux 6]
Amour lustrant tes sourcilz Hebenins z]o
Amour me presse, & tne force de suyvre t ]g
Amour perdit les traitctz, qu'il me tira 8q
Amour ploroit, voire si tendrement . , ;oz
Amour si fort son arc roide enfonsa t4T
Apparoissant l'Aulbe de mon beau jour ;oq
Appercevant test Anie en forme humaine qoq
A quoy prétendre yssir librement hors zJ4
A si hault bien de tant saincte amytié ~ ;q6
A son Atnour ]a belle aux yeux aiguz z68
A son aspect mon oeil reveretnment ;];
Assen ne t'est d'avoir mon coeur ployé ; t r
Assen p]us long, qti un Siecle Platonique ;6]
Au Caucasus de n}pn souffrir lyé ]]
Au centre heureux, au cour itnpettetrable ;;o
Au comtnun plainct rtta joyc est convertie z S t
434 j I O DELLE
Au doulx record de son nom je me sens z67
Au doulx rouer de ses chastes regardz 4t t
Au moins peulx tu en toy imaginer IsI
Au moins toy, clere, &heureuse fontaine z; S
Au recevoir l'aigu de tes esclairs 80
Authorité de sa grave presence ztq
Au vif flambeau de ses yeux larmoyantz 34;
Avoir le jour nostre Occident passé 340
Ay je peu venir le vermeil de la honte z8

H
Basse Planete a l'ennu}• de ton frere
z8z
Bien eust voulu Apclles estre en vie
299
Bien fortun~ celùy se povoit dire
t;g
Bien fut la main a son peril experte
;8
Bienheureux champs, & umbrageux costaulx
z;6
Bien paindre sceut, qui feit Amour aveugla
37
Bien que je sache amour &jalousie
4z5
Bien qu'en ce corps mes foibles esperitz
379
Bien gdon me voye oultrc mode esjouir
IO2
Bien que raison soit nourrice de lame
439
Blanc Alebastre en son droit rond poly
172
Blasmc ne peuls, ou n'est aulam deffault
391
G
Ce bas Soleil qui au plus hault fait honte tz8
Ce cler luisant sur la couleur de paille 397
Ce doulx venin qui de tes yeulx distille ;88
Ce doux grief mal tant longuement souffert 87
Ce froit tremblant ses glacées frisons I S S
Ce hauts desir de doulce pipperie zoo
Ceincte en ce point & le cos, & le corps t73
Celle beaulté, qui embellit le monde 7
435 TABLE DES DIZAITrS ; I i
Celle pour qui je metz seus, & estude t4x
Celle régit le frain de ma pensée zq;
Cc lyen d'or rayz de toy mon Soleil tz
Ce mien languir multiplie la peine zq8
Cc ~i est Plancus, qui la Ville estendit ;yS
Ce n'est point cy, Pcllerins, que mesviceutz z;t
Ces deux Soleils miisamment penetrantz z6q
C'est de pitié que lors tu me desgoustes tgt
Ccs tiens non yeulx, mais estoilles célestes z43
Cest Oeil du Monde universel spectacle ;o;
Chantant Orpltéc au doulx sou de sa lyre ;t6
Combien encor que la discrétion zi9
Combien qu'a nous soit cause le soleil 443
Compte celluy, qui jouant a la Mousche f7
Comme corps mort vagaut en Itaulte Mer t64
Comme des raiz du Soleil gracieux t4t
Comme gelée att monter du Soleil zqo
Comme Hecaté tu ntc feras errer zz
Comme lon voit sur les froides pensées 6R
Continuant toy, le,bien de nton mal 6;
Contour des yeulx, & pourfile du né z;; .
Courantz les jours a declination ;;;
Cupido voit son traie d'or rebouché ;74
Cuydant ma Dame un rayon de miel prendre a37

D

Dans son jardin Venus se reposoir 74
D'autant gn'en moy sa valeur plus augmente tyo
De ce bien faitct te doibs je aumoins louer t6;
De ces haultz Montz jectant sur toy ma veue tz:
De corps tresbelle, &, d'ame bellissime 4z4
Decrepité en vieilles espérances 7n
De fermeté plus dure, que Dyaspre ~ 2lif
De la clere unde yssant hors Cytltarée z f S
De la mort rude a bon droit me plaindroys t37
436 j 12 DEL1E
De l'arc d'Amour tu tires, prcns, &chasses t to
Della ceincte, hault sa cotte attournée t; t
Délibérer a la nécessité 2zo
Delle attx champs troussée,& accoustrée ;27
D'elle puis dire, & ce sans rien mentir 4to
De l'Occean l'Adultaire obstiné t t
De mon der jour je sens l'Aulbe approcher 266
Dens son poly ce tien Cristal opaque ziq
Désir, souhait, espérance, &plaisir t95
Des Montz haultains descendent les ruisseaulx 64
Dessus ce Mont qui la Gaule descouvre ;8S
llcssus le Cceur vouloir seul tnaistriser 2g
Des yeulx ausquelz s'enniclte le Soleil ;o
De ton sainct oeil, Fusil sourd de ma flamme 2q2
De toute Mer tout long, & large espace zS9
De tous travaulx on attend quelque fin 2t8
De toy la doulce, &,fresclte souvenance ;~S
Diane on voit ses deux cornes jecter t76
Donc admirant le grave de l'honneur t46
Doncqttes apres mille travaulx, &mille 44t
Doncques le Vice a Vertu préféré 2to
Dottice ennemye, en qui ma dolente ame t97
D'un magnanime, & haultain cour procédé ;zS
D'un tel conAict en fin ne m'est resté t8q

E
Elle â le cctiur en si hault lieu assis ;8q
Elle me tient par ses cheveulx 1}'c t4
En aultre pan, que la, ou ilz aspirent 334
En ce Fattlxbourg celle ardente fornaise ;60
En ce sainct lieu, Peuple devotiettx 242
Encores vit ce peu de l'espérance t74
En devisant un soir me dit ma Dame t t;
En divers temps, plusieurs jours, maintes heures zt6
En ntoy saisons & aages finissantz 407
437 TABLE DES DIZAINS 313
En permettant que mon si long pcner z49
Ensevely long tentes soubz la froideur tzS
En son habit tant humainement coittcte 28t
En tel suspend ou de non, ou d'ouy t84
En toy je vis, ou que ttt sois absente t44
Entre ses bras, d heureux, pres du cct;ur ;qS

Estant ainsi velue de sa presen<e ;6;
Estant tousjours; sans mbster, appuyé 370

Estes vous donc, ô mortelz, esbahys t6o
Est il possible, 0 vaine Ambition zg8
Estrc me deust si grand' longueur de remps 437
Estrc ne peuh le bien de mon ntalhenr tSb
Et Helicon, cttsemble 8t Parnastts t49
Et l'influence, &l'aspect de tes yeulx 4t6
F
Faict paresseux en nta longue esperance tqz
Finablentent prodigue d'esperance qz6
Flamme si saincte en son cler durera 44g
Fleuve rongeant pour t'attiltrer le nom... 4ty
Force me fut (si force se doibt dire 42~ Fortune en fin te peint domestiquer z8y
Fortune forte a tnes voeutz tant contraire to7
Fusse le moins de ma calamité 99
Fuyantz les D4otttz, tant soit peu, nostre veue 7;
G
Gant envieux, &non sans cause avare tg8
Glorieux uom, glorieuse eutreprinse S4
Grace, &Vertu en mon cæur enflammeront ;t;
H
Haultain vouloir en si basse pensée 4~
Hault est l'effcct de la voulenté libre qtg
438 j Iq DELLE
Heureux joyau, tu as aultresfoys ceinct 347
Heur me seroit tout aultre grand malheur 405
Houneste ardeur en uo tressainct desir 41;

I
Incessamment mon grief martyre rire i; t
Incessamment travaillant en ntoy celle 4;6
Insatiable est l'appetit de l'homme tr6

J
Ji deux Croissantz la I.trne rn'i ntonstré ; S
J~ soit ce encor, que l'importuuité 4a9
Ja tout haultain eu ttroy jé nte paonnois ;t8
J'attens ma paix du repos de la nuict to6
Je le conçoy en mon entendement sa6
Je le vouluz, & ne l'osay vouloir• y6
Je m'asseurois, uon tant de liberti goy
Je m'ayme tout au dcsdaing de la hayne ; t ç
Je me complairas en si doulce bataille y8
Je m'en absente &tant, &tant de foys z t S
Je m'en eslongne, &souvent nt'cn absente 433
je m'esjouys quand ta face ce monstre t86
Je me taisoys si pitoyablement 8
Je ne l'ay veut encor, ne top congneue 34
Je ne rate puis ayséntent contenter ;;o
Je preferoys a tous Dieux ma maistresse t6
Je sens en moy la vilté de la crainte ;8t
Je sens le noud de plus en plus estraindrr ts2
Je sens par fresche, &dure souvenance ;so
Je souspiroys mon bien tirnt csperé ;26
J'espere, &crains, que l'esperance excede tyt
je voy en moy estre u mont Fourviere s6
Je voys cherchant les lieux plus solitaires z6s
439 TABLE DES DIZAINS 315
Je voys &viens aux ventz de la tempeste ;q;
Je vy aux raiz des yet~lx de ma Déesse to;
L

La blanche Aurore a peine fiuissoit ;78
La crainte adjoinct aeles aux piedz tardifz ;08
L'affection d'un trop haultain desir ~oq
L'Aigle des Cieulx pour proye descendit ~zo
L'Aigle volant plus loion, qu'oncques ne fit S i
L'air tout esmeu de ma tant longue peine ~S8
La Lune au plein par sa clarté puissante ;6S
La Mort est pasle, R Cupido transi t Sq
La Mort pourra m'oster &temps, & heur[e] z6.S
La passion de soubdaine alleâresse ;6t
L'Architecteur de la Alachine ronde S;
L'ardent desir du hault bien désiré 8z
La roue enfin le fer assubtilie qoz
L'Aulbe estaingnoit Estoiiles a foison. 7q
L'Aulbe venant pour nous rendre apparent ;SS
Le bon Nocher se monstre en la tempeste t;z
Le Cerfvolant ans aboys de l'Austruche z~
Le Ciel de soy communément avare 2j2
Le Coeur, de so}' foiblement resoulu 258
Le Coeur surpris du froit de ta durté ~8S
Le Corps travaille a forces énervées S6
Lc llieu Imberbe au giron de Thetys q8
L< doulx sommeil de ses tacites eaux t47
Le fer se laisse, &fourbir &brunir Sz
Le Forgeron villainement erra ;6
Le hault penser de mes frailes désirs t t8
Le jeune Ard~ier veult chatouiller Délie z5o
Le jour passé de ta doulce présence ~zq
Le laboureur de sueur tout remply ;q6
Le Naturant par ses haultes Idées 2
Le Painctrc peint de la neige depaindre zqt
440 j Iô DELIE
Le practiquer de tant diverses gentz 2t4
Les elementz entre eulx sont ennemys 392
Le Souvenir, ame de ma pensée t,;;
L'esprit qui fait tous tes membres tttovoir tz~
L'Esprit vouloir, tuais la bouche ne peuh ;64
Les rhetz dorez, dont Amour mc detietit ;z4
L'Esté bouillon; & ma Dame avoir chault 6;
Les tristes Soeurs plaingnoicnt l'antique ofl~ense ; t
Leuth resonnant, & le doulx son des tordes ;44
Le venir, l'ouyr, le parler, le toucher. 4
Le Vcspre obscur a torts le jour clouit t;;
L'heur de nostre heur enflambant le dcsir.... t;6
L'heureux sejour, que derrierc je laisse ;82
L'humidité, Hydraule de mes yeux ;; t
Libre jc vois, £~ retourne libere zz;
Libre vivois en l :A~•ril de mon aage 6
L'oeil, aultresfoys tua joyeuse luntiere t;
L'aeil trop ardent en mes jeunes erreurs t
Longue silence, ou je nt'avainissoys r t2
Lors le suspect, agent de jalousie zo6
Lorsque le Linx de tes ycttlx me penetre ;2t
Lorsque le Soir Venus au Ciel r appelle. t t t
Lorsque Phebus de Thetys se depart ;68 L'oysiveté des delicates plumes ton
M

Ma Dame ayant l'arc d'Amour en sait poing S
Ma Dame &moi jouantz entmy un pré t,o
Ma face, angoisse a quiconques la voit 4S
Mais que nte sert sa vertu, & sa grave 399
Mais si Raison par vraye congnoissance t82
Mansuetude en humble gravité 284
Mars amoureux voulut baiser nta Dame to9
Maulvais usage, &vaine opinion ;2;
bia voulenté reduicte au douls servage 240
441 TABLE DES DIZAINS 317
Me desayntattt par la sevcrité ;84
Me ravissant ta divine harmonie tçy
Merveille n'est Déesse de ma vie. ;2x
Mrs pleurs clouantz au front ses tristes yeulx t6ç
Mes tant longz jours, &languissantes nuictz z4S
M'eust elle dict, au moins pour sa defiaicte 49
Moins je la voy, Certes plus je la hays 4;
Moins ne pourvoit & la foy &l'hommage tg
Mon ame en Terre (utt temps fut) esprouva ;oç
Mon oral ce paist de mon propre dommage ;ty
Mont costoyant le Fleuve, & la Cité 4tz
Morte espérance au giron de pitié t ç;
N

Nature au Ciel non Peripatetique
444
Nature en tousse rendit imparfaictc
247
Ne cuydez point, entre vous, qui suyvistes
;;6
Ne du passé la recente mcmoyre
;62
Ne t'esbays, Dame, si celle fouldre
8t
Nier ne puis, au moins facilement
;66
Non celle ardeur du Procyon céleste
62
Non cy me tient ma dure destinée
88
Non (comme on dit) par feu fatal fut arse
39t
Non de Paphos délices de Cypris
9
Non moins ardoir je me sens en l'absence
; ç 2
Non sur toy seule Envie a faict ce songe

Non tant me nuict ceste si longue absence
t;8
Nous esbatantz ma Dame, & moy sur l'eau
286
Nouvelle autour, novelle affection.
224
O

O ans, 8 moys, sepmaines, jours, &heures
i 14
Oeil Aquilin, qui tant osas soull'rir
93
On me disoit, que pour la converser
;or
442 j 18 DELLE
Opinion, possible, mal fondée 26t
Ores cornue, ores pleinement ronde 29S
Or si le sens voye de la raison 43S
Oserois tu, d Atne de ma vie t62
Osté du col de la doulce plaisance yt
Ou celle estoit au festin, pour laquelle ;8y
Ou le contraire est certes verité 84
Ou sa bonté par vertu attractive t So
Ouvrant ma Dame au labeur trop ardente ;;2
Ouy &non aux Caestes contendantz t8t
P
Par ce hault bien, qui des Cieulx plut sur toy qo
Par ce penser tentpestant ma pensée 348
Pardonnez moy, si ce nom )uy donnaY 394
Par le penser qui forme les rairons 69
Par long prier lon mitigue les Dieux. 2;g
Par maint orage ay secouru fortune ;g
Pat mes souspits Amour m'exale l'Aine ;oo
Pumy ces champs Automne pluvieux t~
Par ta figure, haultz honneurs de Nature t~~
Par tes vertuz excellrntement rares 2s;
Par ton regard severetnent piteux t t S
Perseverant en l'obstination So
Petit object esnteut grande puissance t t9
Peu s'en falloir, encores peu s'en fault 420
Peuvent les Dieux ouir Amantz jurer 20
Phebé luysant par ce Globe terrestre 200
Phebus doroit les cornes du Thoureau 2];
Plaindre provient partie du vouloir t 8~
Plaisant repos du sejour solitaire 4t4
Plongé au Stix de la melancolie ;6g
Plus croit la Lune, &ses cornes renforce ;8;
Plus je la voy, plus j'adore sa face ;oy
Plus je poursuis par le discours des yeulx 288
443 TABLT DES D12AIN5 j19
Plus librement, certes, j'accusetois 6t
Plus pour esbat, que non pour mc douloir ;og
Plustost seront Rhosne & Saone desjoinctz t7
Plustost vaincu, plus tnst victorieux zzz
Pour esmovoir le pur de la pensée ;80
Pour estre l'air tout offusqué de nues t78
Pour la fraischeur llelie se dormoit ;;S
Pour me despendre en si heureux service yS
Pour m'efforcer a degluer les yeulx zzz
Pour m'entasser en mortelles deffaictes t ty
Pour m'incliner souvent a celle image zy S
Pour non ainsi te descouvrir soubdaiu z99
Pourquoy fuys ainsi vainement celle z6;
Pourquo}' reçoy je en moy tnitle argumcntz t 8;
Pour resister a contrariété zo9
Pourroit donc bien (non que je le demande) 44z
Povre de joye, &riche de douleur zS6
Presque sorty de toute obeissancc z8g
Produicte fust au plus cler ascendant ; t9
Q

Quand Apollo apres l'Aulbe vernteille ;86
Quand de ton rond le pur cler sa macule tg;
Quand ignorance +vec malice ensemble ztt
Quand j'aperceu au serain de ses yeux S8
Quand je te vy miroir de ma pensM 4 t S
Quand je te vy orner ton chef doré z;o
Quand l'allegresse aux entrailles créée 400
Quand l'ennemy poùcsuyt son adversaire 3 S9
Quand l'ail aux champs est desclairs esblouy z4
Quand Mort aura, apres long endurer 408
Quand (b bien peu) je voy aupres de moy 3 S4
Quand pied a pied la Raison je costoye t8o
Quand qti elquesfoys d'elle a elle me plaings ;4z
Quand Titan a sué le long du jour ; S6
444 320 DEL1E
Qyasi moins vraye alors je l'aperçoy ;q t
Qpe je me fasche en si vain exercice 438
Que je m'ennuye en la certaineté ;tz
Q[te ne suis donc en mes Limbes sans dueil z8o
Qpi ce lien pourra jamais dissouldre t;j
Quiconque a veu la superbe Machine yz
Quiconques fut ce Dieu, qui m'enseigna qo
Qui cuyderoit du mylieu de tant d'Anges _ ; f
Qui se delecte a bien narrer histoires t8
Qui veult savoir par commune evideoce zy8
Quoy qu'a malheur je veille attribuer 430
Quoy que ce soit, amour, ou jalousie 4z8
R
Respect de toy me rendant fort indigne.... 43 t
Respect du lieu soulatieux esbat.. 42;
Resplendissantz les doulx rait de ta grace 440
Rien ou bien peu fauldroit pour me dissouldre 446
3
Sainae union povoit seule accomplir t34
Sans aultre bien qui fut au mal commode 43z
Sans lesion le Serpent Royal vit t99
Sa venu veult estre aymée, &servie ;S;
Seroit ce point fiebvre, qui me tourmente to8
Seul avec moy, elle avec sa partie t6t
Seule raison de la Nature lo.•. z;
Si Apollo restraina ses raiz dorez tz4
Si c'est Amour, pourquoy m'occit il doncques 60
Si de mes pleurs ne m irousoys ainsi z46
Si de sa main ma fatale ennemye tS9
Si doulcement le venin de tes yeulx 4z
Si droit n'estoit, qu'il ne fast scrupuleux 2t;
Si en ton lieu j'estoys, d doulce Mort 7 t
445 TABLE DES DIZAINS j2i
Si grand' beaulté mais bien si grand' merveille S t
Si je vois xul sans sonner mot, ne dire zqq
Si le blanc pur est Foy immaculée 2S4
Si le desir, image de la chox q6
Si le soir pert toutes plaisantes fleurs. 44
Si ne te puis pour estrenes donner los
Si onc la Mort fut tresdoulcernent chere q8
Si poingnant est l'esperon de tes graces 274
Si tant soit peu, dessus ton saintt Pourtraitt 299
Si treslas fut d'environner le Monde 94'
Si tu t'enquiers pourquoy sur mon tombeau 447
Soit que l'erreur me rende autant suspect ;2
Soubz doulx penser je me voy congeler zoI
Soubz le cané d'un noir tailloir couvrant qt8
Souvent Amour suscite doulce noise ; t4
Suave odeur, mais le goust trop aymer ~ to
Suffix toy,C Dame, de dorer tgq
Sûr fraile boys d'oultrecuydé plaisir. 2Ô0
Sur le matin, commencement du jour 86
Sur le matin, songeant profondement to[
Sur le Printemps, que les Aloxs montent zzt
Sur nostre chef jettant Phebus ses raiz gz
Suyvant celluy, gui pour l'honneur se jeae •to;


Ta beaulté fut premier, & doulx Tyrant ;06
Ta cruaulté, Dame, tant seulement 2;8
Taire, ou parler soit permis a chascun s9
Tant de sa forme elle est moins curieux 28;
Tant est Nature en volenté puissante ;;
Tant je l'aymay, gden elle encor je vis 49
Tant me fut lors cruelement piteuse t;o
Tant occupez aux conditions d'elle qot
r. G!!r jaulr rs! daar Pid. de r fqa. Lirq :amer.
446 j 41 DELLE
Tant plus je veul: d'elle me souveair 404
Tant variable est l'effect inconstant ;ag
Tesbahys tu, 0 Enfant furieux aoa
Tes baux yeulx Bers fouldroyamment luisaotz ara
Tes cheveulx d'or annelle, & erranu ay6
Tes doigtz tirantz non le doulx son des mordes t96
Te voyant rire avecques si graad' grave
Ton doulx venin grave tienne me feit ;
Ton hault somma, O Mont a Venus sainae 9f
Touché au vif, & de ma conscience 4aa
Tousjours mourant, tousjours me trouve scia aga
Tousjours n ést pu la mer Egée trouble ; f ~
Tous temps je tombe entre espoir, & desir a6f
Tout desir est dessus espoir fondé a34
Toute doulceur d'Amour est destrempée ay;
Toute fumée en forme d'une nue ;g~
Tout en tsprit ravy sur la beaulté aa8
Toutes les foys, que je voy enlever ;qo
Toutes les foys, qu'en mon entendement t68
Toutes les foys, que sa lueur sur Terre ;f8
Tout jugement de celle infinité t66
Tout le jour meurs voyant celle preseace ~ 40; Tout le repos, 0 nuict, que tu me doibs a;z
Toy seule as faict que ce vil Siecle avare i r f
Tresobservant d'eternelle amytié 66
Tu as, Anneau, tenu la main captive 349
Tu celle fus, qui m'obligeas premiere. rat
Tu cours superbe, O lthosne, tlourissant. ao8
Tu es le Corps, Dame, & je suis toa umbre ;y6
Tu es, Miroir, au Cloud tousjours pendent af7
Tu fais, cruel, ses pensées meurdriet~es as
Tu m'es le Cedre encontre le venin ;fit
Tu te verras ton yvoire cresper ;ro
z. Lift= : presentn.
:. Le leste porte !a jarre : avoir.
447 TABLE DES DIZAINS j2j

v
Vaincre elle sçait hommes par sa valeur ts;
Veu que Fortune aux accidentz commande ;;y
Vicissitude en Nature prudente 20;
Violenté de ma longue ntisere ;g8
Vivacité en sa jeunesse absconse. t6~
Voulant je veulx, que mon si hault vouloir 4st
Voulant tirer le hault Ciel Empirée 4
Vouldroys je bien pari mon dire attraper ;2g
Vouloir tousjours, ou le povoir est moindre 448
Vous, Gantz heureux, fortunée prison t6g
Voyant soubdain rougir la blanche neige sy
Voy ce papier de tous cortes noircy t88
Voyer combien l'espoir pour trop promettre sy6
Voy le jour cler ruyner en tenebres tyS
Voy que l'Hyver tremblant en soa sejour t48
Vulcan jaloux reprochoit a sa femme 8;

FIN

r. Lt lests porle ld faute :pour.