Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Décrire dans le roman de l’âge baroque (1585-1660). Formes et enjeux de l’ecphrasis
- Pages : 615 à 617
- Collection : Lire le xviie siècle, n° 58
- Série : Romans, contes et nouvelles, n° 9
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- EAN : 9782406090045
- ISBN : 978-2-406-09004-5
- ISSN : 2257-915X
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-09004-5.p.0615
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 12/11/2019
- Langue : Français
Table des matières
AVERTISSEMENT 7
INTRODUCTION 9
PREMIÈRE PARTIE
PENSER LA DESCRIPTION
LES MOTS DU DÉCRIRE, DES MOTS POUR DÉCRIRE
Entre conscience théorique et légitimation critique 27
Des mots en quête de sens 27
Décrire pour raconter : un faible marquage rhétorique 30
Décrire pour montrer, ou l’enargeia polymorphe 33
D’un discours critique authentiquement romanesque 56
Hors du roman et à son côté : le discours critique 57
Péritextes : entre apologie et théorie 65
Au cœur du texte : conversations et textes critiques 74
MÉNAGER LES LIMITES DE L’ÉVIDENCE
Un découpage formel 95
Ecphraseis liminaires.
Repérer des frontières 96
Des « préambules » aux couleurs poétiques 96
Effet de cadrage : un « prélude » et ses thèmes 103
Étonner et émouvoir : des prologues énigmatiques. 108
Prodiges et objets étonnants : par-delà l’énigme. 129
Ecphraseis intégrées 139
616Encadrement typographique et formel :
exhiber la description 139
Entre plaisir descriptif
et ecphrasis impossible : le métadiscours 143
L’ecphrasis est-elle attendue ?
Un faible marquage thématique 167
L’ECPHRASIS COMME DIGRESSION
Réécrire, adapter, supprimer le discours évident 177
L’Astrée et ses réécritures.
De l’évidence au pittoresque 178
L’incipit de L’Astrée 179
Le suicide de Céladon 196
Les « peintures esclatantes » du palais d’Isoure 206
Les tableaux de Damon et de Fortune :
entre détails « éloquents » et ornement 218
La galerie d’Adamas : variante d’auteur ou palinodie ? 248
L’Abrégé de Cleopatre.
L’évidence délaissée 254
Gomberville.
Réemploi et adaptations 260
DEUXIÈME PARTIE
MONTRER L’ÉPHÉMÈRE, VOIR L’ÉMOTION
LES OBJETS DU ROMAN 271
Descriptions de personnes.
Entre représentation physique et peinture
des mœurs et des affects 273
Le corps en mouvement 287
Le « corps-monument » 291
La description-éloge 307
617Humaniser les héros :
le portrait entre éloge et sociabilité 324
Montrer des faits et des actions 333
Tempêtes et naufrages 335
Des détails sanglants et admirables :
la peinture de l’héroïsme, entre guerre et galanterie 348
Un spectacle nouveau : les tournois 362
« Il confessa qu’on ne pouvoit rien voir de plus delicieux ».
Lieux et moments, entre merveille et cadre du récit 377
Les lieux du roman, entre continuité et nouveauté 377
Voir le moment : une catégorie négligée ? 458
POUR UNE PRAGMATIQUE DE L’ÉVIDENCE 463
Docere.
L’ecphrasis est-elle utile ? 464
Le discours théorique 464
Au cœur du roman 474
Delectare.
L’évidence entre plaisir esthétique et admiration 492
Movere.
Décrire pour éblouir, décrire pour toucher 524
Enargeia, stupéfaction, couleur, sublime.
un monstre à plusieurs têtes ? 540
CONCLUSION GÉNÉRALE 551
BIBLIOGRAPHIE 563
INDEX RERUM 609
INDEX DES ROMANS CITÉS 611