Résumé : Cet ouvrage est une étude comparative de la poétologie de sociétés à tradition orale (Kaluli de Nouvelle-Guinée et Dogons du Mali), puis de celle de cultures dotées d’une écriture autochtone (hellénique, chinoise, arabe et yéménite). Elle se termine par une réflexion sur les limites de la poétologie occidentale.