Résumé : Le fragment s’inscrit dans l’épaisseur du mot et non dans l’expression du mot : « “Fragment” [est] un nom, mais ayant la force d’un verbe, cependant absent. » L’écriture blanchotienne chante le même mot d’ordre : « l’informulé dans le connu du mot ». C’est ce que nous voulons éclairer : le fragment ressort d’une impossibilité qui n’est pas liée à une situation historique (l’holocauste), mais qui est l’expression ontologique de l’écriture.