Résumé : De la mise en scène d’un corps fragmenté à la construction d’une chorégraphie, la scène contemporaine joue avec les fragments. À la lumière du travail de Bertrand Lavier, le fragment nous donne à voir autre chose que la source. Dans l’écriture chorégraphique, il arrive d’interconnecter les sous-unités pour créer une complexité. Cela est différent de travailler avec le fragment, qui impose une antériorité à l’œuvre. Un tout déjà là. Est-ce une manière de dérober au sens d’un « tout énoncé » ?