Résumé : Ugo Foscolo travailla toute sa vie à la traduction du poème homérique. Après avoir publié un essai de traduction en 1807, Foscolo poursuivit sa pratique traductive de façon fragmentaire. Comment expliquer ce caractère discontinu et inachevé du livre ? Et comment expliquer la dissémination de ces fragments dans ses autres ouvrages ? Quel rôle a joué cette image à la fois idéalisée et diffractée du monde décrit par le texte grec dans l’agencement de ces fragments ?