Résumé : Au milieu du roman La Bataille de Pharsale, on peut trouver une longue description de l’épave d’une moissonneuse. Or, l’écriture simonienne enlève ces fragments vers une autre dimension. Ils évoquent l’érotisme et forment un système de renvois qui est à considérer comme un tout. Ils fragmentent le récit linéaire. Ces fragments temporels forment les archives de l’épiphanie sur laquelle commence le roman : « Obscure colombe auréolée de safran ».