Résumé : En étudiant la campagne épistolaire menée par Bussy-Rabutin pour rentrer en grâce, cet article montre comment le secret épistolaire est plus une nécessité d’affichage qu’un trait définitoire. Il n’y a pas à pointer une discordance entre un dire et un faire, mais à souligner que la défense du disgracié, pour être adéquatement diffusée et rendue publique, doit, en période de relégation, fabriquer du secret pour avoir une chance d’être entendu, partant, efficace.