![Correspondance. Tome XV. Juillet 1858 – juin 1860 - Note sur les domiciles parisiens de George Sand pendant la période 1858-1860](https://classiques-garnier.com/images/Vignette/GsdMS15b.png)
Note sur les domiciles parisiens de George Sand pendant la période 1858-1860
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Correspondance. Tome XV. Juillet 1858 – juin 1860
- Pages : 849 à 849
- Réimpression de l’édition de : 1981
- Collection : Bibliothèque du xixe siècle, n° 15 – Hors collection
- Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
- EAN : 9782406084730
- ISBN : 978-2-406-08473-0
- ISSN : 2258-8825
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-08473-0.p.0869
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 19/11/2018
- Langue : Français
869
NOTE
SUR LES DOMICILES PARISIENS
DE GEORGE SAND
PENDANT LA PÉRIODE
Igsô-Iô60
1858-r86o — 3, rue Racine.
C'est toujours l'immeuble où nous avons vu George Sand camper en janvier i85i lorsqu'elle vient assister à une représentation de Claudie, et prendre en location, un peu plus tard, un appartement (n° 7), au second étage à gauche. Voir les tomes X, p. 837-838 et Xl, p. 765-766.
Rappelons la composition de l'appartement
— sur la rue, une pièce à feu;
— sur la cour petite salle à manger avec poêle, cuisine, lieux
d'aisances, couloir au milieu.
Le loyer est de ¢oo f. au début, il sera porté à 50o f. plus tard. Pour éviter les visites importunes, ou pour travailler en paix, G. S. monte souvent au ¢e étage, où Manceau conserve un pied-à-terre (appartement n° ii, à gauche, composé d'un atelier sur la rue, avec une autre petite pièce, et d'une pièce à feu (chambre) sur la cour, avec une cuisine).
La maison existe encore. Nous en avons donné une vue partielle au tome Xl, hors-texte n° y.
Les renseignements ci-dessus sont tirés des Archives de la Seine, dossier DQ18 3t6.
SUR LES DOMICILES PARISIENS
DE GEORGE SAND
PENDANT LA PÉRIODE
Igsô-Iô60
1858-r86o — 3, rue Racine.
C'est toujours l'immeuble où nous avons vu George Sand camper en janvier i85i lorsqu'elle vient assister à une représentation de Claudie, et prendre en location, un peu plus tard, un appartement (n° 7), au second étage à gauche. Voir les tomes X, p. 837-838 et Xl, p. 765-766.
Rappelons la composition de l'appartement
— sur la rue, une pièce à feu;
— sur la cour petite salle à manger avec poêle, cuisine, lieux
d'aisances, couloir au milieu.
Le loyer est de ¢oo f. au début, il sera porté à 50o f. plus tard. Pour éviter les visites importunes, ou pour travailler en paix, G. S. monte souvent au ¢e étage, où Manceau conserve un pied-à-terre (appartement n° ii, à gauche, composé d'un atelier sur la rue, avec une autre petite pièce, et d'une pièce à feu (chambre) sur la cour, avec une cuisine).
La maison existe encore. Nous en avons donné une vue partielle au tome Xl, hors-texte n° y.
Les renseignements ci-dessus sont tirés des Archives de la Seine, dossier DQ18 3t6.