Résumé : Au centre du processus judiciaire, les émotions. La littérature, en représentant et en cultivant celles-ci, développerait empathie et pratique compréhensive du jugement. C'est à partir de la nature même du droit, verbe et non émotions brutes, que cette thèse du mouvement « Droit et littérature » est débattue.