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Classiques Garnier

Table des illustrations

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Contes
  • Pages : 385 à 387
  • Collection : Bibliothèque du xixe siècle, n° 1
  • Thème CLIL : 3440 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- XIXe siècle
  • EAN : 9782812439452
  • ISBN : 978-2-8124-3945-2
  • ISSN : 2258-8825
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-3945-2.p.0385
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 15/12/2009
  • Langue : Français
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TABLE DES ILLUSTRATIONS

histoire d’un merle blanc

  1. Affiche de Grandville pour la souscription aux
    Scènes de la vie privée et publique des animaux (1842)   201

Illustrations de Grandville pour les Scènes de la vie privée
et publique des animaux
(1842) :

  1. « Tu n’es pas mon fils ; tu n’es pas un Merle. »   206

Le père merle, furibond, en frac, toise son fils tout juste sorti de sa coquille dont les bris se voient au premier plan. La mère en bonnet de dentelle,
la larme à l’œil, tente de le retenir. À l’arrière-plan, une auge vide.

  1. « L’une était une petite pie fort bien mouchetée
    et extrêmement coquette. »   212

La vignette représente la pie seule, très élégante, dans une robe bouffante à nœuds, un double panache blanc dans les cheveux et un éventail à la main. Le décor est un intérieur bourgeois, avec portrait ovale au mur d’une pie mâle en costume d’officier.

  1. « Pendant qu’elle parlait, je m’étais soulevé
    un peu de côté. »   214

Au bord d’un champ, la pie, en manteau de voyage et capeline, offre des baies au merle blanc couché, son baluchon devant lui à terre. La tourterelle, parée d’un simple voile blanc, tient de ses deux ailes un champignon.

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  1. « Je suis, répondit l’inconnu, le grand poète Kacatogan. »   221

Grandville représente Kacatogan sur une jambe, les bras écartés, laissant tomber des manuscrits ; il est vêtu d’un pantalon, d’un gilet et d’un frac. Sur sa tête, un énorme panache blanc. Sa main gauche tient de longues plumes, tandis que la droite serre des feuillets. Parmi les titres des livres qui lui servent d’ailes ou tombent autour de lui, on parvient à lire, de gauche à droite : « Le Roi des Kakatoés. Drame échevelé » ; « Mélodrame… Archidrame » ; « Odes huppées » ; « Poésies sans rimes, Poèmes sans raison » ; « Les Ombres Poésies fugitives ». Il a une jambe humaine, en pantalon et soulier ; l’autre est une patte d’oiseau. À son côté pend une épée dont la lame est une plume démesurée.

  1. « — Tout le monde se couchait, etc., etc. — »   225

Scène à vingt personnages. Deux oiseaux dans leur nid en haut à gauche disent leurs patenôtres. Deux hérons à l’arrière-plan se saluent chapeau bas. Un oiseau porte une chandelle à son épouse. Une mère oiselle borde ses deux enfants couchés en bonnet de nuit. Une autre, escortée de deux oisillons, porte un bol de bouillon ou de tisane. Etc.

  1. « Ma voisine était une vieille Colombe,
    aussi sèche qu’une girouette rouillée. »   227

Grandville la représente en chemise et bonnet de nuit, un bougeoir allumé à la main, au-dessus d’une console.

  1. « C’étaient des Grives… »   229

Les grives de Grandville sont dessinées en tenue fort élégante, comme la pie. Portant crinoline et chapeau, elles ont l’air de lorettes faisant le trottoir.

  1. « Ah ! parbleu ! dit l’une d’elles à l’autre, si tu en viens jamais à bout, je te fais cadeau d’un Merle blanc. »   231

Grandville représente ces deux concierges l’une en corneille, les mains sur les hanches, l’autre en chienne, les bras croisés. Toutes deux portent fichu et tablier. Elles sont chaussées l’une et l’autre d’une seule savatte.

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  1. « Je remarquai en entrant une grosse bouteille pleine d’une espèce de colle faite avec de la farine et du blanc d’Espagne. »   242

La merlette est assise en peignoir, une brosse à la main, devant son miroir, en compagnie d’une sorte de perruche noire, qui, debout derrière elle, tient à la main un genre de balayette en guise de pinceau. Toutes deux marquent leur surprise à la vue du merle blanc qui entrouvre la porte à gauche.

mimi pinson

Illustrations de Gavarni pour Le Diable à Paris. Paris et les Parisiens (t. 1, 1845) :

  1. Frontispice.   252

Mimi, dans sa mansarde, chante sa chanson devant ses amis. Des flûtes de champagne sont sur la table. Un étudiant barbu frappe la cadence sur une assiette. Un autre allume sa pipe.

  1. « Mimi Pinson. Paroles de M. Alfred de Musset. Musique de M. Frédéric Bérat. »   270-273
  2. Cul-de-lampe.   295

Mimi, à sa fenêtre, devant un pot de fleurs, est en train de coudre.