Résumé : L’artiste Nathalie Perrin a été invitée à créer trois œuvres en lien avec l’exposition, entre rêverie littéraire et minutie analogique. Les lettres de chaque mot y sont tracées volontairement de la main gauche, telle une épreuve sur soi la confrontant à la violence de Moravagine, et les dessins suggestifs, inspirés de l’esthétique wölfienne, proposent des pistes pour découvrir autrement les « folles rencontres » entre Cendrars et Wölfli.