Résumé : La liberté de circulation est souvent présente, comme une musique de fond, dans le cinéma européen et les séries TV. Cette liberté revêt une dimension légale, mais également économique, sociale, politique et biographique. La perspective cinématographique rend le droit plus vivant, ce qui est montré par une série (Bad Banks) et deux films (L’Auberge espagnole et Una vez más). Les films et séries pourraient donc être intégrés à la réflexion critique.
Mots-clés : liberté de circulation des travailleurs, liberté de circulation des personnes, citoyenneté européenne, marché commun, Schengen, fuite des cerveaux, émigration, moyen didactique, multidimensionnalité du droit, perspective cinématographique