Résumé : L’« eurocentrisme » de la littérature comparée, longtemps dénoncé par les spécialistes chinois de la discipline, semble porter préjudice à la culture européenne, en compromettant l’accès à celle des autres nations. Le point de vue opposé de l’« ethnocentrisme » étroit doit aussi être évité afin de passer de la « confrontation » au « dialogue » et de parvenir à un échange égalitaire entre les littératures comparées de Chine et d’occident.