Abstract: En réponse à une invitation de M.-G. Stănişor à méditer sur le rapport de Cioran à l’échec, l’article revient sur les florissants paradoxes d’une œuvre qui a triomphé au Panthéon des lettres et qui s’est pourtant adonnée au « courage de l’échec », comme l’évoque Cioran dans une lettre à Arşavir Acterian du 23 juin 1975.