Résumé : La mort est une hantise pour Cioran, tout concourt à une rumination qui semble relever d’un paradoxe : si la vie n’est rien, pourquoi redouter ce qui en délivre ? Et si la mort n’est rien, pourquoi n’y voir un accès possible au néant ? Seules alors les figurations de la mort, anecdotes, périphrases, peuvent exprimer l’inexprimable : « C’est comme ça… Que voulez-vous ? » Effectivement, c’est comme ça…