Résumé : Cet article étudie l’impact sur Cioran de la mort de ses proches, à travers sa correspondance avec son frère Aurel et des amis (Arşavir Acterian, Bucur Ţincu ou Constantin Noica). Il montre en particulier comment Cioran va en tirer un enseignement pour lui-même et sa conception de l’homme à sa mort.