Résumé : Si nous avons choisi de rapprocher les deux œuvres évoquées dans le titre c’est parce que leur traduction en français soulève des problèmes similaires. Notre démarche suivra deux fils rouges parallèles qui s’éclairent réciproquement : l’analyse des figures rhétoriques récurrentes dans les deux œuvres roumaines et l’analyse de leur traduction française. Cette analyse comparée nous mènera à la conclusion qu’Emil Cioran est un « lecteur lu » qui gomme son écriture de jeunesse.