Résumé : Cette contribution compare deux romans, Où j’ai laissé mon âme et Le Principe, sur la manière dont les protagonistes respectifs engagent un dialogue ou pseudodialogue avec un interlocuteur absent – caractéristique de la narration ferrarienne par excellence. Au travers des personnages André Degorce et Werner Heisenberg, Ferrari décline deux filiations de la violence dont cet article dévoile les points en commun et les divergences.