Résumé : Dans sa comparaison des romans Où j’ai laissé mon âme et L’Art français de la guerre d’Alexis Jenni, cet article s’intéresse au traitement de la question de la mémoire et de la transmission d’un savoir sur la guerre. La question du mal étant omniprésente dans Où j’ai laissé mon âme, cette étude en vient à considérer l’esthétisation de la langue comme une possible voie de rédemption.