Résumé : Cet article s’intéresse à l’histoire et à la violence chez Ferrari, deux sujets qui convergent dans la représentation de la guerre. Dans son analyse des romans Où j’ai laissé mon âme et Le Sermon sur la chute de Rome, l’étude pointe les différents traitements de la violence de la guerre, qui se déclinent tantôt en termes de continuités, tantôt de ruptures de l’histoire, afin d’interroger aussi les implications éthiques de ses représentations.