Résumé : Bien que leur inspiration cléricale soit patente, les chansons de geste composées au xive siècle valorisent l’idéal chevaleresque et présentent en revanche une image très négative du clerc, habituellement perçu comme couard, cupide ou lubrique. De plus, dans ces textes, la figure du clerc combattant, emblématiquement représentée dans la tradition épique par l’archevêque Turpin, s’efface au profit du personnage plus ambigu, mais plus pittoresque, de l’enchanteur.